Les nuits blanches
Selon toute apparence, il était en chemin depuis longtemps. Il était fatigué et couvert de poussière. Il n’allait nulle part, il marchait le long de la forêt et des chemins, selon son bon plaisir…

Selon toute apparence, il était en chemin depuis longtemps. Il était fatigué et couvert de poussière. Il n’allait nulle part, il marchait le long de la forêt et des chemins, selon son bon plaisir…
Tout d’abord, il y a eu l’accueil, une petite pièce sur le côté, meublée d’une table et de quelques chaises brunes en toile cirée avec des pieds en fer. Nous étions assises là avec maman …
Après quelques jours de marche par des routes et des forêts, il arriva sur une colline d’où l’on découvrait une vaste perspective. Le soleil brillait sur des champs et des prairies …
Ayant fréquemment affaire à des simulateurs, le personnel médical des camps russes dans son ensemble avait fini par acquérir le pouvoir infaillible de les reconnaître soi-disant à l’instinct …
Le lendemain matin nous devions nous mettre en route. Le réveil était réglé sur six heures quarante-cinq. Une heure peu agréable, mais rien à faire. Fin décembre et matin noir d’encre …
Clara et Siegfrid étaient en vacances. Mais ils n’étaient partis nulle part car ils devaient rénover leur chambre. Celle de la mère de Clara avait déjà été rafraîchie …
Le 15 septembre au soir. Preedik Sollmann était assis sur l’escalier de la maison et observait le ciel où venait de passer un vol d’oies sauvages …
Au pied d’une colline se trouvait une maison. Il y en avait une autre derrière la colline. Mais elle était d’ordinaire inoccupée, depuis très longtemps déjà …
Elle n’avait pas du tout parlé d’amour avec Ado. Comment une telle chose peut-elle être possible. Comment peut-on à ce point vouloir être ensemble, se plaire, s’aimer réellement – mais ne rien dire …
Des coups impérieux furent frappés contre la porte. Puis une autre série de coups. Naatan Vaeras ouvrit les yeux en sursautant et regarda le réveil …